Reconnue comme la première montre de plongée destinée au grand public, la Submariner de Rolex est bel et bien née de la passion de la marque pour les véritables aventuriers des fonds marins. Prêt à vous immerger dans une belle histoire ?
“Quel lien existe-t-il entre l’explorateur océanique Jacques-Yves Cousteau et le célèbre agent secret James Bond ? La montre Submariner, bien sûr !”
Première plongée pour la Submariner en 1953
La montre Submariner a été créée par Rolex en 1953 pour accompagner le professeur Auguste Piccard et son fils. Ils avaient prévu, alors, d’explorer le fond de l’océan à 3 150 m à bord du bathyscaphe Trieste. À leur retour, la Submariner fonctionnait toujours à la perfection.
En 1960, le prototype Deep Sea Special se jette à l’eau
Lors de leur expédition à 10 000 m de profondeur, les explorateurs du Trieste étaient équipés de cette nouvelle version de la montre Submariner. Là, encore, elle a résisté à la pression des fonds marins.
De grands noms pour une montre mythique
Dans les années 1950, le directeur de Rolex René-Paul Jeanneret était ami avec le grand explorateur océanique français Jacques-Yves Cousteau. Ce dernier a très certainement inspiré la marque lors de la création de la Submariner. Et si cette montre a connu immédiatement un vif succès auprès des plongeurs, c’est grâce à l’agent 007, James Bond, qu’elle a séduit très vite des millions de spectateurs. En effet, Sean Connery porte une Submariner à son poignet dans le premier volet de cette fabuleuse saga, “James Bond contre Dr. No”.
La Submariner et ses multiples versions au fil du temps
De la création de la Submariner à aujourd’hui, Rolex n’a de cesse de créer des versions toujours plus optimisées de sa montre. En 2012, la marque présente sur le salon Baselworld un nouveau modèle de la Submariner, sans date, qui fait date dans les annales de cette montre des plus légendaires.
Avec sa montre Submariner, Rolex plonge dans les profondeurs des océans aux côtés des plus grands explorateurs océaniques comme à ceux des plongeurs amateurs. Et ça, c’est le vrai signe de la réussite.
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